[RP] La place du marché

La Place du Marché! La colonne de cavaliers s'arrêtait comme convenu.
Alors que tout les membres du convoi furent arrivés, il était temps
pour eux de se reposer...

"Compagnons, pieds à terre! Restez aux abords des chariots!"

Je me tournais vers Ulrich...

"Mon
ami, je vous laisses le comandement et la sécurité de notre invitée. Je
vais sans attendre à la demeure du Comte, que personne ne s'éloigne
durant mon absence!"

Tous étaient fourbus du voyage et
celà pouvait se comprendre, rien ne les empèchait des rester dignement
droits à attendre les ordres. Leurs armures aussi noir que l'ebène,
laissant ressortir les tabards dorés et sables qu'il portaient
fièrement. J'était fier d'eux, leurs aventures ont commencées lors de
mon départ d'Ermenonville, et me voici de retour avec eux à mes
côtés... Sans oublier Ulrich, mon fidèle ami et Capitaine de ces
braves! Je restait un moment à admirer cette ville qui m'a tant
manquée...

Puis, désignant deux hommes, je poursuivi jusqu'à la demeure d'Ange...

Ulrich Lunz

Ermenonville!!! Tous ces chemins, ces embûches, ces périples, tout ça
pour en revenir ici!!! Peu de soldats, de gardes, de miliciens, cet
endroit ressemblait plus à un village endormi qu'à une ville dont le
nom fût jadis sur toutes les lèvres. D'un signe de tête, j'acceptais
les recommandations du Seigneur de Witthem, nous attendrons ici. Je me
rapprochais du carosse dans lequel était Damoiselle Roxhanne, veillant
aussi à ce que la curiosité des villageois ne vienne pas perturber la
bonne tenue de nos troupes. Après tout ceci, il faudrait que je lui
parle à mon ami, que je lui dise enfin ce qui devait être dit à Arras
avant que celui-ci me demanda de l'accompagner jusqu'ici!

- Ulrich Lünz de Boffesheim -

Ulrich Lunz

L'un des hommes accompagnant Messire de Witthem vint me prévenir de son
départ avec le Comte de Valois, voilà qui commençait bien. Bloqué avec
deux Compagnies sur les abords d'une Place de Marché!!! Discutant avec
Damoiselle Roxhanne, celle-ci me demanda de la raccompagner vers un pré
qui lui tenait à coeur. "Pourquoi pas Damoiselle!" Sans attendre elle s'aggripait à moi et monta à ma suite sur mon cheval!

Je m'adressais alors au Compagnon le plus proche de moi. "Faites
prévenir le Seigneur de mon départ et que la troupe ira monter le camps
aux abords de la forêt. Prenez trois hommes avec vous et assurer sa
protection en mon absence!"
Sur ces mots, nous partions tous en direction de la forêt avoisinante.


- Ulrich Lünz de Boffesheim -